Je ne trouvait pas cette villa de Claouey et c'est Jean-Pierre L. qui m'a proposé l'hypothèse d'une villa de Lège : « Bonjour, il existe curieusement une maison presque identique à la villa Marquita à Lège, avenue de la presqu'île. Avec quelques différences cependant. Façade peut-être un peut moins large et quelques autres petites choses. Pourtant on pourrait presque s'y méprendre. Bas en pierre, petite toiture en pente sur l'arrière, façade d'une teinte plus foncée. Certain aménagement dans le temps?? » Malgré mon scepticisme (beaucoup de différences), j'accepte, faute de mieux, cette hypothèse. Voir une photo d'écran. Un an plus tard et après avoir parcouru le livre édité par Jean Marie brossard, Jean-Pierre L. reviens sur sa première idée. Nous sommes bien à Claouey sur l'avenue Toulouse Lautrec. Extrait du livre : « Construite vers 1930 par M. Pabia, pharmacien à Bordeaux, dans le style typique Arcachonnais, la villa "Marquita", n'a pas changée d'apparence. Elle est actuellement (2012 nda) la propriété de M. et Mme Montouroy. » [Source : Jean-Marie Brossard 2012] Merci Jean-Pierre, il doit donc s'agir de l'actuelle villa Bagatelle.
Ker, du breton lieu habité et Gilden, probablement de Guilde. Soit la maison de la guilde (association de secours mutuel entre marchands). Toujours là aujourd'hui, avenue Toulouse Lautrec.
C'est Jean Pierre L. qui m'a indiqué l'emplacement exact de cette villa Loupierrot. Notez en passant, l'orthographe de Claouey sur la carte. Voici ce qu'il m'écrit fin mars 2021 : «Bonjour, de mémoire, il existe une maison identique à la villa Loupierrot (carte n° 1762) avenue du port à Claouey. En descendant depuis la nationale sur le côté gauche, donc numéro pair. Je dirais entre le 10 et le 14. Jean Pierre L.» Bravo et merci jean Pierre, c'est exactement là que je l'ai retrouvée!
C'est Jean-Pierre L. qui retrouve cette villa Louisette de Claouey dans le livre édité par Jean Marie brossard. On la retrouve au nord de l'avenue Henri Guérin (ex 3ième avenue). Extrait du livre : « La villa Louisette fut construite en 1925 par M. Rattier. Actuellement modifiée et dénommée "Heures Claires", elle appartient à la famille Bigot. Les autres constructions en bois que l'on aperçoit on été progressivement remplacées par des habitations en dur » [Source : Jean-Marie Brossard 2012] Merci Jean-Pierre. Belle trouvaille.
C'est toujours Jean-Pierre L. qui retrouve cette villa Ony-Ait de Claouey dans le livre édité par Jean Marie brossard. On la retrouve au début de l'avenue Toulouse-Lautrec (6ième avenue) et face à l'avenue H. Guèrin (3ième avenue). Extrait du livre : « Le chalet "Ony-Ait", était habité par le mécanicien du village, Henri Morillon, dont le garage se situait sur le CD 106, au sud de la villa Chasse et Pêche. Construite vers 1933 dans le style local, cette habitation en bois a fait place à une villa en dur. » [Source : Jean-Marie Brossard 2012] Merci Jean-Pierre. Encore une belle trouvaille.
Quand on parle de rond-point à Claouey, tout le monde pense au gros rond-point de la D106 à l'entrée du village entre la station service et le supermarché. Or ce dernier n'existait pas à cette époque : la carte est cachetée en 1946 mais on reconnais la série de photos de Marcel Delboy des années 1930. Ce rond-point de Claouey des années 1930, c'est celui qui est traversé par l'avenue Jean Bart et l'avenue Toulouse Lautrec. Comme on peut le lire sur le livre de Jean Marie brossard, «l'avenue Toulouse Lautrec (ex 6ème avenue) a deux particularités ; celle de ne pas être rectiligne comme les autres rues de Claouey et, à son intersection avec l'avenue Jean Bart (ex 7ème avenue), d'avoir un poteau électrique dressé en plein milieu du carrefour.» [Source : Jean-Marie Brossard 2012] Mais de quelle villa s'agit-il sur la gauche de la photo avec ses deux fenêtres en façade? Ce n'est ni Bagatelle, ni Scarlett, ni Agur, ni Triton. N'hésitez pas, contactez-moi si vous avez des infos.
Les villas de la 8e avenue (actuelle avenue Michelet) de Claouey. On reconnais les villas Guy-Guy (à gauche) et Ric et Rac (à droite). Texte au dos de la carte : «Bien arrivée, temps magnifique. La Maison des journalistes se trouve au bout de l'avenue à gauche(*). Je vais bien m'y reposer, je crois, tout y est très sympathique. Je vous embrasse bien fort. Germaine.»